Il enlaça ses bras autour de ma taille tandis que j'enlaçais les miens autour de son coups.

Nos langues étaient entrée dans une danse douce et sensuelle, ses mains tâtaient mes fesses, son bassin faisait de légers petits mouvements ce qui avait le don de m'exciter encore plus.

 
Je lâchai son cou afin de me plonger vers le centre de mes envies... Je sentis son trésor comme on sent une rose. Je léchai le tissu comme on léche une crème glacée et j’ôtai son boxer, comme on ôte une feuille d'une enveloppe...

Sa queue était là, se dressant fièrement devant mon nez.

Jonathan était debout sur ses genoux.

Je revins l'embrasser puis redescendis pour engloutir sa pine.

Je la mouillai en y mettant beaucoup de salive.

Je donnai quelques coups de langues sur le gland, ce qui eu don de lui faire sortir deux-trois petits râles.

Je tâtai ses bourses, les pris en bouche une par une.

 
Tu me fais un de ces effet ! me dit-il en me regardant à l’œuvre.

 
Après cette déclaration très appréciée, je décidai d'accélérer les choses et me mis à le pomper comme un agneau assoiffé au pi de sa mère.

Il tenait ma tête entre ses mains et imposait un rythme plus soutenu en essayant de me faire quelques gorges profonde.

 
Et oui c'est bon ça ! dit-il en gémissant.

Sa queue devenait de plus en plus grosse.

Je m'arrêtai avant qu'il n'explose dans ma bouche et remontai l'embrasser.

C'était à présent à son tour de s'occuper de moi, il  m'abaissa mon boxer blanc et commença à me masturber frénétiquement.

Mon pouls s'accélérait au fiel de ses vas et vient...

Il me poussa en arrière.

Je tombai sur le dos...

Il vient ce mettre à côté de moi en sens inverse afin d'entamer un 69 sur le
côté.

 
Je sentis une langue chaude, douce et humide titiller mon gland et descendre jusqu'à la garde.

Je lâchai un petit gémissement et sentis ma pine avalée par sa bouche. Il commença des vas et viens.

Plus il allait vite, plus il serrait ses lèvres autour de ma queue et meilleur s'était.

Il mouilla un de ses doigts et vient chatouiller mon entrée avant de l'y engouffrer et de faire quelques vas et vient tout en me pompant.

Hooooo ! c'est bon ça !. Dis-je en fermant les yeux pour mieux savourer cet instant.

 
Il inséra un deuxième doigt puis un troisième et fit de longs va et vient rapides.

Je ne pouvais m'empêcher de râler de joie.

 
Il ce redressa, chercha un préservatif dans sa table de nuit, prit une petite
bouteille de lubrifiant, et en tartina sur sa bite bien droite et sur ses doigts afin d'en tapisser au fond de mon orifice.

 
Il me releva les jambes sur ses épaules et présenta son gourdin à mon entrée.

 
Détends-toi loulou ! me dit-il avant de s'enfoncer sans s'arrêter malgré mes cris de plaisirs intenses.