Sexe gay

 

 

 

Un petit sourire suffit à nous faire quitter la bar où nous venions de nous rencontrer pour nous rendre à son appartement

Il me met tout de suite en situation : • A genoux ! (ce que je fais sans me faire prier.) • Ouvre ta bouche en grand !

Et là il me crache un long jet de salive chaude dans ma bouche ouverte tout en rapprochant le bout de sa queue légèrement durcie.

Quelques gouttes de pisse commencent goutter de sa queue pour venir humecter ma bouche déjà remplie par sa salive. Puis un jet puissant de pisse suit, inondant mon corps et remplissant ma bouche.

J’en bois le plus possible, cette eau claire et sucrée me fait un effet fou !

 

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Pendant ce temps là je me pince le bout des seins d’une main tout en reniflant du poppers de l’autre. Et je me mets à décoller ….. La pisse mêlée à sa salive m’enduit la figure et le torse offert à tout ce qu’il pourrait me donner…et il continue à pisser et à me cracher dessus.

Il est temps de changer les rôles car j’ai une furieuse envie qu’il me suce, ma bite palpite.

Je l’agrippe par les cheveux et le force à se mettre au sol humide de son liquide. Ma bite force un passage dans sa gorge et semble l’étouffer.

 

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Il manque à plusieurs reprises de régurgiter mon énorme chibre mais obéit à mon insistance à vouloir qu’il se la prenne bien.

En sortant ma bite de sa bouche je m’aperçois que je mouille comme un fou, j’en recueille quelques gouttes que je lui fais bouffer et m’en humecte les lèvres.

Se tordant sur le sol il se retourne et me présente son cul, bombé, poilu avec un petit trou brun entouré d’une couronne de poils noirs et fins. Le trou palpite et m’invite.

 

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Ma bouche s’accroche au trou et je lape avidement ses sucs tout en bavant sur les fesses tendues.

Son cul est prêt, mes doigts s’y enfoncent sans efforts, un premier, puis un second.

Je sens que je peux aller encore plus loin encore. Je tends la main vers un pot de crème aimablement disposé près du sol et m’en recouvre bien la main droite. Et je reprends mon jeu avec son cul, mes doigts s’infiltrent à nouveau et cette fois je sens que mon poing tout entier va rentrer !

Son cul est chaud et doux comme du velours et ses gémissements de plaisir prouvent que je suis sur la bonne voie.

J’en profite pour lui lécher les couilles tout en cueillant au passage du bout de ma langue sa mouille qui coule abondamment de sa queue dressée. Mon poing s’enfonce plus profondément.

 

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Il attrape mon poignet et pousse plus en avant ma main en lui.

Je sens que son plaisir s’accroît. Mais il ne va pas s’en tirer comme ça ! Il faut que je le baise, comme un fou, alors d’un coup sec je retire mon poing et le remplace par ma bite. Elle s’enfonce d’un coup jusqu’aux couilles et je la laisse palpiter en lui sans bouger.

Je sens les contractions de son cul autour de ma bite.

S’il continue je n’aurai même pas besoin de bouger pour jouir ! Il faut faire durer le plaisir et ne pas précipiter les choses…. Je retire ma queue de son cul et lui remet dans la bouche directement pour qu’il ait le goût de son intimité. Puis je l’embrasse goulûment pour que nous partagions ce plaisir.

 

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Je veux aussi qu’il me baise, mais avant il faut que je lui pisse dans le cul.

Je le pénètre à nouveau violemment et laisse aller…..

Ma pisse le remplit d’un liquide chaud. J’attends de m’être bien vidé la vessie, puis mets ma bouche près de son trou, et je lui demande de me rendre ce que je lui ai donné.

Son trou palpite encore et commence à relâcher ma pisse que je bois des lèvres et de la langue.

Notre plaisir est évident, nous venons de nous trouver un partenaire enfin à la hauteur de nos phantasmes !

 

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Après avoir rempli ma bouche de ce liquide je l’embrasse à nouveau. Il gémit de plaisir et me déclare qu’il n’en peut plus, qu’il a envie de jouir.

Il faut dire que je suis limite aussi…mais il faut savoir prendre son temps. Je veux inventer un scénario d’apothéose à cette rencontre, pour que nous nous en souvenions longtemps après.

Je lui demande s’il est d’accord pour se laisser guider par mon inspiration et sa réponse me comble d’aise, j’ai le champ libre !

 

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Son torse musclé et poilu luit de sueur, de pisse et de bave répandus par nos deux corps.

Je l’attache à la croix de saint André fixée au mur avec les menottes qui l’ornent, ses abdominaux se contractent sous l’effort et les veines de sa bite semblent vouloir exploser.

Il offre sa bouche, son torse et son sexe, tout est à moi, je vais en jouir à fond. Je le suce longuement, goulûment, avalant sa mouille et sa sueur. Je crois qu’il va falloir conclure car je n’en peux plus de passion et de désir !

 

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J’enfonce à nouveau mes doigts, puis mon poing entier dans son cul et le branle doucement jusqu'à sentir que sa mouille se transforme lentement en sperme, la montée du jus me rend fou !

J’ouvre en grand ma bouche pour ne pas en perdre une miette pendant que mon poing fouille ses entrailles.

Un jet puissant de foutre me remplit la bouche. Je garde le tout en bouche sans l’avaler tout en me branlant frénétiquement jusqu'à ce que je répande moi même de longs jets sur ma main offerte.

 

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Trois, quatre long jets de jus chaud remplissent ma main tandis que je tourne encore son jus dans ma bouche avec la langue et que des rugissements d’animal remplissent la pièce.

Puis je me lève et applique ma main pleine de foutre sur son visage que je barbouille, sa bouche que je remplis de mon jus.

Notre conclusion finale est un long baiser au foutre, qui mélange le sien au mien. J’avale tous les liquides de nos bouches humides et gluantes tout en défaisant les menottes.

 

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Cette séance nous laisse épuisés mais ravis, je constate avec surprise que sa bite est encore bien dure…..que faire ? Sans hésiter une seconde je me l’enfonce dans le cul.

L’effet est immédiat je re-bande comme un fou. Le salaud me baise avec une violence animale et je sens que cette fois pas de pitié qui tienne, malgré mes cris de douleur il m’encule à fond en me crachant sur la base du cou et en léchant à nouveau ses propres crachats qui dégoulinent dans mon dos.

 

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Il me précipite au sol tout en relevant mes jambes bien haut au-dessus de ma tête pour bien me baiser à fond avec ma propre bite bien au dessus de ma figure.

Malgré cette position inconfortable, le carrelage qui me meurtrit le dos, je sens encore une vague de plaisir fou m’envahir. Cette bite qui me défonce, ce ball stretcher des couilles qui me fait mal en venant se cogner contre mes fesses, tout concourt à une nouvelle jouissance. Il éructe quelques grognements significatifs, c’est sûr, son jus remonte !!!

 

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La simultanéité de ce qui arrive me stupéfait ! Mon gland à quelques centimètres de ma bouche se gonfle, le méat s’ouvre et le foutre se répand dans ma bouche.

Il retire sa queue de mon cul et me l’enfonce dans la bouche et je sens qu’il se vide encore les couilles.

J’ai du mal à avaler tout ce foutre en même temps, mais que voulez vous, je suis gourmand.

 

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Il se penche à nouveau vers moi après avoir bien nettoyé sa queue dans ma bouche et m’embrasse longuement.

La nuit à été longue ! Nous nous levons, quittant la pièce en nous tenant la main délicatement du bout des doigts et nous dirigeons vers sa chambre.

Là nous nous allongeons voluptueusement tels des guépards repus et blottis l’un contre l’autre dans nos odeurs, nous nous endormons du sommeil des…….diablotins !


Ven 22 fév 2013 Aucun commentaire