Avant de le connaître, je n'avais aucun doute sur ma sexualité: j'étais hétéro. Dès que je l'ai aperçu de premier jour de son embauche, je savais que plus rien ne serait comme avant.Ses yeux, son air un peu ailleurs, sa silhouette lui donnaient un côté mystérieusement attirant.

Cette année-là, nous avons fait connaissance, nous avons discuté de temps à autre, sans plus...

Arrive alors ce voyage d'entreprise.le voyage en Espagne.Julien et moi serons dans la même famille d'accueil. Plus que ça, nous serons dans la même chambre.

Arrivés le dimanche soir, RAS jusqu'à ce mercredi soir. Comme chaque soir, vers 22h30, quand tout le monde est couché dans l'appartement madrilène, on refait la journée écoulée et on rentre dans nos délires. A ma grande surprise (la 1ere de la soirée), il aborde un thème qu'il ne connaît pas vraiment mais dont il me sait fan: le catch. Il me pose quelques questions dessus, j'y réponds, me demande ce que j'aime là-dedans, etc...

Allez savoir ce qui lui prend, il me demande de lui montrer une prise. Je ne suis certes pas catcheur mais je peux tenter quelques prises de bases. Je décide alors de tenter un souplesse de telle sorte qu'on retombe sur son lit afin de ne pas de faire mal. Nous exécutons la prise de manière sûrement pitoyable et nous sommes à présent à demi allongé, côte à côte, sur son lit. Nous nous regardons et rigolons de la situation quand Julien me prend par surprise: il m'embrasse timidement sur la bouche. Un baiser volé en quelque sorte...

Il savait sûrement la certaine attirance que j'avais pour lui, ce qui expliquerait son initiative. Toujours est-il que nous nous regardons dans les yeux et que je décide de m'approcher petit à petit de son visage. C'est alors à mon tour d'embrasser Julien Je sens ses lèvres contre les miennes: un rêve tend à se réaliser. Je caresse au passage ses cheveux tandis qu'il pose timidement ses mains sur ma nuque.

Cependant il veut prendre le contrôle de la situation en se plaçant sur moi: je le laisse faire. Nous sommes donc à présent l'un sur l'autre. Nos langues commencent à entrer en contact et j'aime ça. Je veux qu'on aille plus loin que ce simple échange de baisers. Je descends mes mains le long de son dos pour arriver jusqu'à ses petites fesses. Julien ne dit rien. Il est comme moi sans doute: il apprécie le moment.

Je passe donc à la vitesse supérieur: je commence à retirer son T-Shirt et mon ami se laisse faire. Il décide alors de faire de même avec moi. Nous nous rapprochons alors encore plus. Nous sommes maintenant corps à corps alors que nos langues continuent de s'entremêler. Je sens au creux de mes reins que le sexe de Julien est bien dur et bien dressé, tout comme le mien. C'est le moment que je choisis pour lui retirer son short ainsi que son slip.

Julien est à présent nu face à moi: le rêve devient réalité! Son sexe est d'une beauté remarquable et est plus long que ce que j'imaginais.

Mes actions mettent en confiance Julien et ses lèvres quittent ma bouche pour descendre le long de mon torse, arriver sur ma cicatrice à l'estomac (vestige d'une longue maladie) pour enfin arriver vers mon pantalon qu'il descend en même temps que mon boxer. Il découvre alors mon sexe et semble étonné. Il me regarde et me jette un de ses sourires que j'aime tant.

Julien se baisse alors et porte sa bouche à ma queue pour commencer une pipe. La sensation fut extraordinaire pour moi. J'étais vierge à cette époque et c'étais la 1ere fois que cette occasion se présentait. Je prends un plaisir immense. Au bout de 2/3 minutes, je décide que c’était à mon tour de lui offrir de ce plaisir. Je relève alors Julien et l’allonge complètement sur son lit.

Je me place à hauteur de son sexe et me met à lui lécher le membre avant finalement de le mettre dans ma bouche. Je découvre une nouvelle sensation: celle d’avoir le sexe d’un autre dans la bouche. Non seulement je la découvre, mais j’y prends plaisir.

Le souffle de Julien s’accélère de plus en plus et moi je veux aller de plus en plus loin, malgré l’absence de protection. Je le suce de telle sorte que son sexe soit très humide. Je remonte une nouvelle fois le long de son corps, embrassant son torse et son cou pour arriver une nouvelle fois à la bouche. Je me relève légèrement pour placer mes fesses à hauteur de son sexe. Je saisis celui-ci et le place à l’entrée de mon anus. Julien ne semble pas contre mon initiative, je continue donc.

Je place son sexe quasi à la verticale et commence à l’entrer tout doucement à l’intérieur de mon corps. Son gland est entré: une petite douleur se fait sentir mais cette dernière est vite éclipsée par le plaisir que je prends. Je continue alors très lentement à descendre sur son sexe et ce jusqu’à ce que ce dernier soit entré quasiment en intégralité dans mon anus. Je commence alors à faire de lents et courts va et viens sur son sexe tout dur.

Julien a les yeux fermés et son souffle est de plus en plus rapide: le plaisir est vraiment réciproque. Pendant que je continue à faire aller et venir son sexe en moi, je caresse son torse imberbe avant qu’on ne se donne les mains. C’est alors que je décide d’accélérer le rythme. Les vas et viens le long de son sexe deviennent de plus en plus rapide et je prends de plus en plus de plaisir. Je me retiens comme je peux pour ne pas gémir trop fort (le couple qui nous accueille dort juste à côté).

Le plaisir devient si intense que je sens l’éjaculation et la jouissance très proche. Je donne alors une dernière accélération et c’est alors que je ne peux plus me contenir. Je pousse un léger cri de jouissance et éjacule sur le corps de Julien.

Je retire ensuite tout doucement son sexe de mon anus et le masturbe quelques instants afin qu’il éjacule à son tour. Nous nous embrassons une dernière et longue fois avant d’éteindre la lumière. Cette nuit, nous dormirons nus dans le même lit…

Le lendemain matin, nous reparlons de cette soirée et décidons de remettre ça ce soir. Nous nous éclipsons donc pendant une de nos heures de quartier libre pour acheter discrètement des préservatifs. Nous referons l’amour durant nos deux dernière nuits madrilènes. Le plaisir fut tout aussi intense… et réciproque!