Je frappe à ta porte, Toc toc.
-Oui !... J’arrive… Et tu m’ouvres. T’es là, un grand sourire aux lèvres et les yeux brillants de malice.
- Salut… je t’apporte les boissons pour la journée… C’est que nous risquons d’avoir chaud… Euh… Dans tous les sens du terme, je crois !
Tu me fais entrer et tu poses mon carton sur la table. Puis, tel un félin, tu m’approches avec ton sourire.

Tu me regarde et me dis :
- Tu t’es habillé comme je te l’ai demandé. Huummm…Ton string, le porte jarretelle rouge te vont à merveille Mais pourquoi les bas résilles en noir ? Je les voulais aussi en rouge !
- Et bien je ne les ai pas trouvé, alors le rouge et le noir c’est joli non ?
Tu me souries puis nous nous embrassons. Je sens ta langue me fouiller et quand elle rencontre la mienne elles font comme nous, elles s’enlacent.

Puis c’est à mon tour de prendre l’initiative, mes lèvres parcourent ton corps alors que j’ai déboutonné ta chemise qui tombe à terre. Pendant ce temps nous nous sommes approchés du lit et là tu t’arrêtes, tu attends que je finisse de déboucler ta ceinture. Mes mains ont senti ton sexe. Il est gonflé de plaisir mais tu vas devoir attendre encore.

J’ai un autre projet en tête. Le pantalon vient de tomber à terre lui aussi. Comme convenu, tu n’as pas de slip. Je peux admirer ton sexe, encore plus gonflé certes mais pas encore en érection. Pourtant elle est déjà d’un bel aspect. Tu es aussi épilé que moi je suis poilu. C’est toi qui devrais porter les attributs de femme. Mais c’est bien moi qui vais t’accueillir tout à l’heure.

(Maintenant imagine toi la scène. Entre chaque phrase, ferme les yeux pour mieux voire la scène )

 Tu es aussi nu que moi. T’es assis sur le bord du lit, le corps légèrement basculé vers l’arrière. Moi je suis à genoux entre tes jambes. Mes lèvres effleurent la peau de ton bas ventre. Mon menton, par petite touches, effleure ton sexe. Imagine- son effet. Puis je descends…

(Non !... Pas là !... C’est trop tôt). Je descends sur la face interne de ton entre jambes et c’est ma joue qui joue à touche-touche avec ton sexe. Je prends et soulève ta queue qui se raidie (Non !... Attends encore !), pour gober tes boules. Je les aspire, je les malaxe entre mes lèvres, je les tire puis ma langue descend vers ton périnée. (Tu la sens cette langue chaude, humide, agile ?).

Instinctivement, tu écartes les jambes pour me faciliter l’accès. Puis je reviens vers le devant. Ta queue cette fois se raidie. Alors je la prends entre mes doigts et je titille le frein de ma langue. (Ah ! Je t’ai surpris ! Ne dis pas non… J’ai senti ton petit geste de recule). Puis ma langue te caresse tout le gland. Elle est toute mouillée.

À présent ton gland est enveloppé par mes lèvres. Tout doucement je glisse ton gland à l’intérieur puis le ressort de ma bouche. (Ne dis pas que tu n’aimes pas !... Ta queue est devenue si grosse que j’ai bien du mal à la garder en bouche).

(T’ai toujours dans l’imagination ? Alors continuons ):

J’ai pris ta queue à pleine main et ma bouche a absorbé tout ton gland. Quand je descends ma main, ma bouche en fait autant. Je salive un max ce qui fait que tout glisse à merveille. Tu es pris par un plaisir incontrôlable. Tu as pris ma tête pour que je t’absorbe encore plus loin.

Ta queue devient raide. Tes mouvements deviennent saccadés. (Tu entends ta respiration ? Elle est courte et tu fais autant de bruit qu’un soufflé de forge !). Je te laisse faire jusqu’au moment où elle devient dure et que tu te mettes à geindre comme une pucelle. Je sens que tu te tends alors je décide de reprendre le contrôle des choses. Je sers ton membre et je reprends mon mouvement d’entrée-sortie de la collerette de ton gland entre mes lèvres, comme tu es près de l’explosion, cette façon de faire t’agace et pourtant tu te tends de plus en plus.

Tu sens ce truc étrange qui t’as pris depuis le bout de ta queue et qui monte le long de ton corps ? Je te sens vibrer comme une corde que l’on a pincée sur une guitare. A présent tu ne peux plus rien contrôler, le grand frisson t’a entièrement envahi. Je sens ta queue qui vient de durcir encore un peu. Ma récompense arrive.

Et en effet je sens ton jus qui monte le long de ton sexe puis tu m’inondes la gorge de tout ton plaisir et moi je bois ce merveilleux nectar jusqu’à la dernière goutte. Tu es complètement anéanti et tu mérites bien un peu de repos car ça c’était juste un petit encas.

Pour reprendre un peu de force, nous buvons chacun une canette. Cela a étanché notre soif mais surement pas nos désirs. Une demi-heure est passée et nos envies n’ont pas faiblis. À présent nous sommes allongés, tête-bêche, sur le lit. Ta langue baveuse fouille mon petit trou alors que moi j’ai repris mon petit péché mignon et je te gratifie d’une seconde fellation. Ton membre a repris de l’ampleur, et même une bonne raideur, je m'entends geindre comme une petite pucelle.

(Tu m’entends ?... Cela t’excite mon salop !)

Aussi ta langue a quitté mon petit trou pour y placer deux doigts dès le début. Je les sens tourniquer, entrées plus à fond puis partiellement ressortir. Un troisième doigt vient de rejoindre les deux autres.

(Tu sens la douceur de mes parois rectales ? Et ce bruit de sucions, plutôt indécent non ? A t’es trop excité, tu veux me la mettre bien à fond.)

Alors ?... comme début, qu’en penses-tu ?