Mercredi 6 mars 3 06 /03 /Mars 22:50

 

 

Rinaldo s'approcha de moi et posa un tendre baiser sur mes lèvres.

- Jusqu'à ce soir mes sentiments envers toi étaient amicales. Seulement, si je n'étais pas sûre de ce que je ressent en ce moment à ton égard, je ne t'aurai jamais embrassé comme je l'ai fait et en plus, avec du sang plein la bouche, me dit-il avec petit sourire coquin.

 
- Tu es certain d'avoir envie d'aller plus loin ? lui demandais-je.

 
- Et toi, tu n'as pas envie de te taire et de laisser le destin faire les choses ? me dit-il, avec un sourire au coin des lèvres.

 

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Finalement, il se leva le premier, me prit par la main et m’entraîna dans la chambre, me laissant guider sans difficultés.

Il s'allongea sur le lit et m'attira vers lui.

Nos lèvres se joignirent sans tarder pour un baiser beaucoup plus hard et plus sexuel que celui réalisé dans le salon.

Malgré le fait, que j'étais habillé, je ressentais l'incroyable chaleur que dégageait son corps. Aussi, je sentais son sexe grossir dans son caleçon, constatant désormais par moi-même, qu'il en avait effectivement une grosse.

 

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Il commença à m'enlever mes vêtements un par un. Quand il retira mon sous-vêtement, il m'allongea sur le lit, leva mes jambes et débuta une superbe fellation, léchant ma verge, mes testicules et mon anus.

Disposé ainsi en position du missionnaire et subissant les assauts de sa langue sur mes parties intimes, je n'avais qu'une envie, c'est qu'il me pénètre.

D'ailleurs, le désir devenait trop fort pour que j'attende un seconde de plus. Je me suis alors redressé, je l'ai allongé sur le lit et j'ai commencé à lécher

 

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« baveusement » sa poitrine musclée, ses tétons, ses abdos pour enfin arriver à l'essentiel, sa grosse queue déjà bien raide qui tirait formidablement sur le tissu du caleçon.

J'ai alors libéré sa bite et je me suis acharné sur son énorme gland rose, lapant le frein, la hampe de haut en bas, ses grosses boules et son cul. Je le léchais avec tant d'avidité, qu'il y avait de la bave partout.

Sa verge était comme l'huilée.

 


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- Allez, viens...assieds-toi sur moi, me dit Rinaldo en m'attirant vers lui, m'obligeant à abandonner la fellation que j'effectuais.

Sans qu'il me le répète une seconde fois, je m'exécutais dans l'immédiat en présentant mon anus au dessus de sa queue.

Mais au moment, où je venais m'empaler sur cette dernière...

 

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- Attends..., dit-il en crachant sur la paume de sa main.

Il me lubrifia le cul en y enfonçant un, puis deux doigts qui me firent gémir de plaisir.

- Ça vas allez, me dit-il tendrement.

 
- Oui, ça ira, le rassurais-je.

 

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Effectivement, il faut bien reconnaître que son pénis dois bien faire 23 cm de long et large d'au moins 6 cm, alors c'est sûre qu'il est pas mal « gaulé ».

C'est pour cette raison que très délicatement, je descendis petit à petit sur sa bite et ce jusqu'à la garde.

 

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J'avais la verge dure comme du béton et droite comme la justice. Puis quand j'ai commencé mes vas-et-viens sur son manche qui s'accélérèrent au fur et à mesure que l'excitation grandissait, des frissons m'envahirent le corps décuplant ainsi le plaisir comme jamais, si bien que la jouissance venait presque.

Surtout qu'il me masturbait pendant l'acte. J'ai alors gentiment retiré sa main pour ne pas qu'il me fasse jouir.

A ce moment, il me sourit et réciproquement, comprenant mon geste.

Rinaldo gémissait sous chacun de mes coups de reins réalisés sur sa queue.

Je lui caressais le corps et lui le mien. Je mettais un doigt, puis deux puis trois dans sa bouche et lui faisait de même. Je tétais chacun de ces doigts comme un veau tète sa mère.

 

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Ensuite, gardant sa bite en moi, il me retourna sur le dos, ramena mes jambes vers mon visage, retira son sexe et frotta son gland sur mon anus.

Puis, à nouveau, il força lentement l'entrée de mon trou avec sa grosse « pine » et ce fût à son tour de m'infliger de magistral coup de reins, comprenant alors exactement le genre de choses que j'aime dans l’acte sexuel.

Sa grosse verge glissait vraiment bien en moi, la sentant jusqu'au fond de mes entrailles.

C'était formidable.

 

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Après, il me mit à quatre pattes sur le lit et continua de me pénétrer encore et encore.

Pendant quarante minutes, nous avons essayé tellement de positions que je ne saurai dire combien.

Il était en sueur et essoufflé par l'action. A tel point que sa transpiration faisait briller sa peau. Chaque goutte saline tombait sur mon corps à chacune des secousses provoquées par ses coups de reins.

Notre dernière position fut celle du missionnaire (celle que je préfère d'ailleurs). C'est à ce moment que la jouissance commença à monter en lui.

- Je vais jouir, me dit-il tout en continuant ses vas et viens dans mon cul remplit de mouille et à présent largement dilaté.

 
- Je veux que tu jouisses dans ma bouche, lui demandais-je.

 

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Il me regarda et me sourit puis dans un râlement rauque, il se retira rapidement en moi et se présenta au-dessus de ma bouche.

Il y déchargea une impressionnante quantité de jus d'à peu près quatre ou cinq jets biens épais et blanchâtre à souhaits, s'étant bien appliqué à laisser son gland au-dessus de ma bouche afin que je ne puisse perdre une goutte.

 
J'ai avalé son sperme sans hésitation. D'ailleurs, je continuais à le sucer alors qu'il avait déjà tout donné m'attardant plus particulièrement sur son gros champignon rose.

Pendant ce temps, il me regardait et je faisais de même. Toujours au dessus de mon visage, le corps couvert de transpiration, il me caressa la joue droite et me mit ensuite un doigt dans la bouche. Puis, il se rapprocha et n’embrassa longuement.

Nos corps en sueur se frottèrent l'un contre l'autre sous nos caresses.

 

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Enlacé tendrement comme des amoureux, on s'échangeait quelques baisers. N nos regards ce croisèrent puis se décroisèrent, pour à nouveau se fixer.

Et c'est à cet instant que Rinaldo me susurra :

- Je t'aime Arthur.
- Moi aussi, répondis-je.
- Tu as aimé ? me demanda t-il.
- Oui, c'était super, dis en riant.
- Et bien on recommenceras, dit-il en souriant lui aussi.

Par cgay - Publié dans : Première fois
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